Tous les articles par UDS

Théâtre/Public n°217. Théâtre en travail

Théâtre/Public n°217. Théâtre en travail
Mutations des métiers du spectacle (toujours) vivant

Les très nombreux débats suscités par le mouvement des intermittents et des précaires en 2014 ont permis de réfléchir distinctement à ce qui est bien souvent confondu : le travail et l’emploi, le salaire et le revenu, la qualification et la compétence. Ils ont, en outre, interrogé avec force le statut des arts dans la société, la reconnaissance sociale, économique et symbolique de ses professionnels, leur pluralité ainsi que les menaces, les contradictions qui sont aujourd’hui les leurs. Un an après, le dossier de ce numéro de Théâtre/Public entend placer la question des métiers au centre de sa réflexion : ce qu’ils sont au sein des arts de la scène, mais aussi ce qu’ils deviennent, et ce qu’ils pourraient être. Nous proposons ainsi des témoignages, des discussions, des études sur ce qui est en train d’advenir, en tentant de rendre compte de la diversité des enjeux, des fonctions, des mutations, des spécialités qui s’y jouent et dont parfois on se joue.
Gwénaëlle Plédran, artiste invitée, a réalisé toutes les photos de ce numéro.
Antoine Doré et Sophie Proust, Stéphanie Daniel, Louise Doutreligne, Marcel Freydefont, Dominique Paquet, Panchika Velez. Avec Sandra Travers de Faultrier. Statuts d’auteurs et rémunérations. Écriture dramatique, mise en scène, scénographie et éclairage

Scénographier l’art

Au croisement de l’architecture et des arts, la scénographie devenue aujourd’hui un art à part entière ne se circonscrit plus à l’espace scénique.
Cet ouvrage propose d’étudier, de 1939 à nos jours :
– l’évolution du concept de scénographie, du rapport entre l’œuvre d’art et son environnement, depuis l’espace scénique jusqu’à l’espace public en passant par le milieu muséal.
– des exemples d’œuvres, d’installations et d’événements d’art contemporain, de collaborations entre artistes et scénographes.
Susanna Muston, Marcel Freydefont, Emmanuelle Gangloff
Continuer la lecture de Scénographier l’art

réunion assemblée générale de l’uds

 

 

 

Tous les membres de l’association sont invités à participer à l’assemblée générale ordinaire et sont donc destinataires de la convocation. Les sympathisants et futurs adhérents sont également invités.
Vous pouvez également proposer un sujet à débattre et participer activement aux projets de l’UDS.
Les scénographes qui souhaitent présenter leur candidature au conseil d’administration doivent se manifester dès maintenant.
La réunion sera suivie d’un verre de l’amitié !
Nous avons plus que jamais besoin de vous pour faire vivre UDS, en vous investissant d’une manière ou d’une autre.
Vous trouverez en pièce jointe le formulaire d’adhésion.
Nous souhaitons vous retrouver nombreux à cette réunion afin d’échanger avec vous, nous rencontrer et construire en commun l’avenir de l’UDS.
Amicalement à vous

 

 

vente costumes cinéma

60, Rue Amelot 75011 Paris

Mercredi 9 sept. 2015 à  14h00

FONDS RÉGIFILM – COSTUMES X

 

Ader
contact@ader-paris.fr

 

 

          

NFORMATIONS SUR LA VENTE
Fonds régifilm – costumes X Expositions publiques : Samedi 5 septembre de 10h à 18h Lundi 7 septembre de 10h à 18h Mardi 8 septembre de 10h à 18h Experts : Jean-Claude Dey Assisté d’Arnaud de Gouvion Saint-Cyr Tél.: 01 47 41 65 31 jeanclaude.dey@wanadoo.fr, Sylvie Daniel Tél : 01.40.44.88.64 Mail : sdanielexperrt@free.fr

http://www.ader-paris.fr/index.jsp?setLng=fr

La scène

La diversité des espaces de représentation d’un spectacle n’a de limites que celles fixées par l’imaginaire du metteur en scène.

Les lieux les plus incongrus sont susceptibles d’accueillir artistes, spectateurs, décors, ainsi que la machinerie pouvant les faire fonctionner.

Gymnase, chapiteau, usine en friche, quai de gare, ascenseur, plein air, appartement… la scène ne se limite pas aux quatre murs d’un théâtre établi. Il est toutefois évident qu’un plateau pourvu d’un équipement de machinerie permanent et performant apporte un confort de travail et des gages de sécurité pour les équipes de techniciens et d’artistes.

L’e-book de la machinerie

Loin de la technicité affirmée propre au domaine du son et de la lumière, la machinerie de théâtre – ou plus largement du spectacle – demeure la face cachée de la mise en œuvre technique. Pourtant, la scène – espace durable ou éphémère – est un lieu d’évolution de l’artiste. Cette caractéristique définit la scène et la technique qui s’y réfère comme le « cœur battant » du théâtre. Les éléments d’éclairage, de sonorisation et la scénographie y sont installés un temps donné grâce à la compétence et à l’engagement des techniciens du plateau, dans une recherche constante d’esthétisme et de sécurité.

A l’instar des autres sites de la collection, l’e-book de la machinerie offre une approche physique de la machinerie par les poids et masses. S’en suivent les moyens de levage, le descriptif de la scène et de la machinerie, la mise en pratique sur un plateau. Au delà de ce savoir technique, le travail des machinistes sur un plateau – au plus près de l’artiste – nécessite d’incontournables qualités humaines et de savoir-être, qui valorisent encore la beauté du travail de ces artisans de l’ombre.

http://www.machinerie-spectacle.org/

Association de la Régie Théâtrale

Association de la Régie Théâtrale
fondée en 1911 et reconnue d’utilité publique par décret du 14 mars 1924

http://www.regietheatrale.com/index.html

Bibliothèque de mises en scène et de documentation théâtrale
Présidente Danielle Mathieu-Bouillon

http://www.regietheatrale.com/index.html

Les dons faits à l’A.R.T. ont tous une histoire particulière, amicale, il faudrait dire confraternelle.

Les collections théâtrales de l’A.R.T. à la Bibliothèque historique de la ville de Paris, ne constituent pas un fonds d’archives ordinaire, mais un ensemble de documents professionnels, collationnés par les membres de l’association, ou ayant fait l’objet d’un don, voire d’un legs (l’A.R.T. est reconnue d’Utilité publique), par ceux qui les ont conservés tout au long de leur vie, ou par leurs ayant droit.
Il s’agit en effet, pour les donateurs, non seulement d’éviter la destruction de ces témoins de leur activité, mais de servir la mémoire de ce qui fut leur passion avant d’être leur métier.
Inconsolables du sort qui fut réservé aux archives de Molière, ils se sont fait un devoir de laisser, bien au-delà de la trace de leur passage sur la scène, tout ce qui peut servir à l’histoire de leur art et satisfaire la curiosité des chercheurs qui l’écrivent ou qui l’écriront.
C’est tout naturellement vers l’A.R.T. qu’ils se tournent parce qu’ils trouvent en son sein, ceux-là même avec qui ils ont vécu et travaillé, ceux-là avec qui ils ont partagé l’exaltation de la création théâtrale, le trac des jours de première, la satisfaction du succès, ou la douloureuse déception de l’échec, parce que dans les membres de l’ART ils reconnaissent leurs pairs auxquels ils sont indissolublement et transgénérationellement liés.
Il serait injuste de ne rien dire de ce que furent les carrières de ceux à qui nous devons tant de richesses. Petit à petit donc, seront esquissés quelques traits de la trajectoire personnelle de nos donateurs.
Elles appartiennent toutes à l ‘aventure du théâtre, une aventure nourrie d’humanité, d’amitié et de fraternité.